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Oribasius [latinus], Synopsis et Euporista (1va-138va). Alexander Trallianus [latinus], Practica (138vb-242vb). De ponderis et mensuris medicinalibus (179va). Dioscorides [latinus], De materia medica (243ra-321va).
Numérisation effectuée à partir d'un document original.
Contributors
- Dom Germain Poirier
- Pierre Daniel
- Jacob Bongars
- J. Gravisset
- H. de L'Épinois
- Gabriel de La Porte du Theil
Creator
- Oribasius (0326-0403). Auteur du texte
- Alexander Trallensis (0525-0605). Auteur du texte
- Dioscurides Pedanius. Auteur du texte
- ORIBASIUS. Auteur du texte
- ALEXANDER TRALLIANUS. Auteur du texte
- DIOSCORIDES. Auteur du texte
Subject
- Middle Ages
- Reading culture
- Reading culture (medieval)
- Medieval (European)
- reading culture
- Middle Ages
- Reading culture
Type of item
- manuscript
- manuscript
- Manuscript
Contributors
- Dom Germain Poirier
- Pierre Daniel
- Jacob Bongars
- J. Gravisset
- H. de L'Épinois
- Gabriel de La Porte du Theil
Creator
- Oribasius (0326-0403). Auteur du texte
- Alexander Trallensis (0525-0605). Auteur du texte
- Dioscurides Pedanius. Auteur du texte
- ORIBASIUS. Auteur du texte
- ALEXANDER TRALLIANUS. Auteur du texte
- DIOSCORIDES. Auteur du texte
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- Middle Ages
- Reading culture
- Reading culture (medieval)
- Medieval (European)
- reading culture
- Middle Ages
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Type of item
- manuscript
- manuscript
- Manuscript
Providing institution
Aggregator
Rights statement for the media in this item (unless otherwise specified)
- http://rightsstatements.org/vocab/NoC-OKLR/1.0/
Rights
- public domain
Creation date
- 0790-0810
- 8th century
- 9th century
- 0790/0810
- 8th century
- 9th century
Places
- Fleury (Saint-Benoît-sur-Loire)
Source
- Bibliothèque nationale de France. Département des Manuscrits. Latin 9332
Identifier
- Bibliothèque nationale de France. Département des Manuscrits. Latin 9332
- http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b60004321
Format
- Fleury (Saint-Benoît-sur-Loire). - Minuscule hybride de Fleury, partageant des caractéristiques des minuscules pré-carolines, carolines et insulaires, mêlée d'onciales ou semi-onciales (cf. f. 90ra, 115rb). Titres (des œuvres ou livres, cf. spécialement la page frontispice, f. 140) en capitales à cadre plein ou évidé; rubriqués dans quelques cas ou plus fréquemment à l'encre avec rehauts de couleur, comportant parfois des lettres incluses ou monogrammatiques. Titres des capitula majoritairement en onciales et semi-onciales rubriqués, quelquefois mêlées de capitales à l'encre noire, avec, en quelques occasions, une alternance de rouge et de vert (f. 43). Il s'agit du second des quatre types contemporains d'écritures en usage à Fleury à la fin du VIIIe s., que Bischoff a qualifié «d'étrange alternance de mains» plus ou moins cursives, dont la première main entretient une ressemblance importante avec l'écriture d'Agambertus (Berne, 118; Valenciennes 59 et 147, etc. ; sur le groupe de ms. présentant ces types d'écriture, voir Bischoff, 1986, p. 129, n. 11 [1979, p. 146 n. 11] et Bischoff, 2007-2, p. 31-32 (= MS 3, p. 16-17), spécialement, p. 32 n. 53c ; voir aussi CLA, 5.568 et 7.**568, à propos de l'écriture en «mixed minuscule, A.D. 779-797» de Berne, BB, 207 + Paris, Bnf, lat. 7520). Plus encore, des points communs s'observent avec Paris, Bnf, NAL 1597 (voir CLA 5.687), non seulement par l'écriture (minuscule "mixte" mêlée d'onciale, surtout f. 1v-2r; même type de signes abréviatifs caractéristiques, tildes et apostrophes pointés), mais aussi dans le décor qui comporte un vocabulaire graphique semblable dans la même palette de couleur (rouge, jaune, vert).Nombre important de mains, 12 ou plus, avec des différences notables dans la graphie des signes abréviatifs et de certaines lettres, surtout lors des ligatures. On discerne aussi des caractéristiques de l'écriture de chancellerie dans le cas d'au moins deux lettres a et c (cf. le a en forme de h retourné, par ex. f. 81rb et le c en demi cercle, f. 79vb de la main 2 ; ou la forme du 'c' en deux traits avec brisure, par ex. f. 294v, 296r) et dans l'abondance et la diversité des ligatures. En quelques endroits, un des copistes a utilisé une écriture de type diplomatique pour les dernières lignes de colonnes (f. 291v, 292r). — Lettres q et p aux panses non fermées. Les différentes écritures présentent à des degrés divers la gamme complète des ligatures anciennes (et, ec, en, es, re, etc.), dont celles associant le a lié au dessus de la ligne, en forme de h retourné, avec les lettres n, c et s (main 2, par exemple voir 'lacrimantur' f. 85va); et celles passim, avec le i lié sous la ligne, notamment avec f, l, m, n, r et t.Abréviations peu nombreuses (plus ou moins fréquentes selon les mains), souvent limitées aux terminaisons des mots. Signes abréviatifs variés, en forme de vaguelettes plus ou moins verticales ou tiret simple remontant en fin, pointé ou non; apostrophe ou demi cercle accompagné parfois d'un point. Le signe pointé n'est pas employé par toutes les mains et son usage n'est pas constant chez celles qui l'utilisent. Ponctuation peu développée (distinctio par un point médian principalement, et parfois le graphisme utilisé pour le décor des fins de lignes assume la fonction de periodus, ponctuation forte) ; signe récurrent pour les fins de lignes ou périodes (par ex. f. 2ra-2vb et suiv., pour la main 1 ; f. 80r et suiv. pour la main 2 qui utilise aussi à cet effet un point suivi d'une virga ; main 4, cf. 194r) Écriture des chiffres VI-VIIII au moyen du système utilisant une ligature similaire au G oncial (voir Bischoff, 1986, p. 194). — Signes conventionnels exprimant les noms des unités de mesure dans le texte (par ex. cf. f. 30; elles ne figurent pas toutes dans le De pond. du f. 179va) et la graphie des signes varie selon les mains. Séparation des mots non systématique donnant l'aspect d'une écriture aérée. Selon la nomenclature de Saenger (1997, p. 45), elle se situe entre les types «blocs syllabiques» (syllabe blocks) et « blocs de mot hiérarchiques » (hierarchical word blocks). [N.B.: De manière à rendre intelligible la lecture des transcriptions ci-dessous, le découpage des mots retenus dans la description analytique du contenu n'est pas celui du ms.; l'orthographe est conservée telle quelle se rencontre.]. - Une page frontispice peinte et historiée (f. 140, voir description plus bas). — Nombreuses initiales moyennes décorées, à l'encre seule brune ou rouge (passim), avec lavis (cf. 110v-111r) ou avec rehauts de couleur, rouge, jaune, verte (cf. par exemple f. 102v-103r, 108v-109r, 110r, 122v-123r). — Petites initiales à l'encre brune ou rouge passim, parfois entourées de pointillés rouges, sur le mode insulaire (f. 26r, 27r, 30v, 46v, 70v, 198r etc.). La disposition du texte indique, d'une part que les initiales ont été dessinées par les copistes au fur et à mesure, et d'autre part qu'elles ont été mises en place avant le travail de copie proprement dit (cf. 7v, le 'R' f. 121ra). Il résulte qu'abondance et qualité du décor, exclusivement composé d'initiales, varient selon les mains. La décoration des initiales, luxuriante dans la partie consacrée à Oribase et copiée par la première main (m.1: f. 1-137v), devient plus sobre dans les seconde et troisième parties (Alexandre, principalement copiées par les mains 4-6 et Dioscoride, pour les mains 8-12?). — La main 4 emploie de nombreuses initiales à cadre évidé, comme m.1, mais elle espace leur décoration (f. 140v-195v) laissant la plupart vide ou simplement remplie d'un lavis. — La main 6 allège encore le décor (f. 196-242v) ; bien que responsable de quelques initiales décorées (cf. f. 196v, 200r-v), elle privilégie les initiales simples au trait et initie l'utilisation de lettres monogrammatiques (f. 197r). — La main 8 (f. 243-290ra ; 290vb-295v) dont le langage plastique s'apparente à celui de m.1, prolonge et développe le style de décor dû à la m. 6, notamment par l'utilisation de lettres monogrammatiques en tête de chapitre (cf. f. 246v, 256r, etc.); suite à un long passage sans presque aucune initiale décorée (f. 264r-287v), quelques belles initiales soignées apparaissent encore (m. 8: f. 288r-290v ; 291v-295v ; m. 10: f. 296v). Enfin, la main 11 propose un décor sobre (cf. f. 297r-305v), basé sur le même répertoire que m. 1 et 8, tandis que la main 12 (306v-321) ne trace que des intiales au trait sans décor, à deux exceptions près, mais qui ne sont peut-être pas de sa main (f. 306v et 321v). Les initiales se composent de motifs abstraits (cf. 86rb) ou zoomorphes mêlés d'entrelacs (cf. 1v, etc., ou d'entrelacs seuls, f. 26r, 40r-43r, etc.); leur bestiaire est constitué d'oiseaux (cf. paons? f. 16r, 17v, 20r, 22v; 58v et 104v, etc.), de serpents (f. 50v, 51r, 66v, etc.) , de poissons (f. 46r, 295r, etc.), de chien (cf. 86ra), peut-être d'un lion ? (f. 289v); moins fréquente est la représentation humaine, limitée aux bustes (f. 93v ; 122r) ou aux visages de face (m. 1: f. 39v reprise en 92r, 68r et cf. 96v, 114v, 121v, 123v; m. 4: 152v, 154r, 172r). Il est toutefois moins aisé de dire à quelle espèce appartiennent les deux têtes animales se faisant face, l'une en haut l'autre en bas des hastes des certaines lettres: de type canidés ou du bétail sans corne? Elles forment pourtant un motif très fréquent apparaisant chez plusieurs mains (voir par exemple, les B de m.1, f. 11r-v, etc. ; m. 4, f. 194v ; m. 8: 249r, 289r). Quelques compositions se rencontrent à plusieurs reprises : le C formé d'oiseaux ou de poissons, le A formé de 2 oiseaux au cou liés par un anneau (f. 7v dos à dos et face à face 118va, etc.) ou les lettres, comme M, O et Q, tracées à l'aide d'un compas (parmi de nombreuses attestations de l'usage du compas, cf. les exemples des f. 20v-21r, 136r, 140r, etc.). - Parch. - 321 f. - 400 × 260 mm. - (justif. 330/340 x 210/220 mm), à deux col. - 36 / 37 lignes. - 44 cahiers conservés sur un ensemble primitif comptant 46 cahiers de longueur inégale (perte de 2 cahiers complets + 3 f.) ; un bifol. du 34e cahier d'origine est conservé à Berne. On notera un certain nombre de cahiers anormaux ou de compositions peu orthodoxes (cf. par exemple : cahier 7, composé de 4 bifol. et de 2 f. isolés, 55 et 56, encartés entre les bifol. 49-54 et 48-57; cahier 25, composé d'un bifol. et d'un f. isolé encarté au centre ; cahier 34, deux f. isolés; cahier 37, formé d'un bifol. et d'un f. isolé, placé devant ; le f. 296, hors cahier est seul et non signé ; etc.). — 4 séries de signatures coexistent délimitant 3 unités codicologiques en corrélation avec les œuvres qu'ils transmettent. Les trois parties qui composent ce ms. ont été produites dans le même centre et ont été reliées ensemble peu après leur production, comme le prouve la quatrième série de signatures qui court sur l'ensemble du recueil (numérotant 2 fois 23 cahiers). Les débuts des œuvres d'Alexandre et de Dioscoride, ne coïncidant pas exactement avec de nouveaux cahiers, il faut postuler que dès le début de la copie, on avait projeté de réunir les trois œuvres en un seul volume (voir plus bas). Toutefois, chaque série est le fruit du travail d'équipes différentes, qui se distinguent notamment par un décor plus ou moins abondant. Enfin, une cinquième série de signatures à la mine de plomb, moderne celle-ci (1831), s'observe sur les bas des rectos près des fonds de cahiers. — La présence de signatures au recto du premier f. de chaque cahier serait due à une influence grecque (voir Loewe, CLA 6, p. vii et xix). Unité codicologique I (1er cahier d'origine perdu): 18 (1–8) ; 28 (9–16) ; 38 (17–24) ; 47 (25–31) ; 58 (32–39) ; 68 (40–47) ; 710 (48–57) ; 88 (58–65) ; 98 (66–73) ; 108 (74–81) ; 118 (82–89) ; 128 (90–97) ; 134 (4 f. isolés : 98–101) ; 148 (102–109) ; 157 (110–116) ; 168 (117–124) ; 178 (125–132) ; 187 (133–139) ; 198 (140–147). À cette partie correspond une première série de signatures, conservées sur les rectos des 1ers f. des cahiers ; les mentions « ur. », pour videtur signalent qu'ils ont été révisés ; les signatures des cahiers 1-2 et 8-19 ont été omises: cahier 3, « q(uaternio) IIII. v(idetu)r » (f. 17r) ; 4, « q(uaternio) V. v(idetu)r» (f. 25r) ; 5, « q(uaternio) VI. v(idetu)r » (f. 32r) ; 6, « q(uaternio) VII. v(idetu)r » (f. 40r) ; 7, « q(uaternio) VIII. v(idetu)r » (f. 48r). Au début du 11e cahier, une lettre « a » à l'encre rouge, entourée de points de même couleur, s'apparente à une signature et coincide avec le début du livre 7 de la traduction d'Oribase, suivie, au cahier suivant (12), d'une autre lettre grattée, mais dont seul reste son encadrement de pointillés rouges. Unité codicologique II208 (148–155) ; 216 (156–161) ; 228 (162–169) ; 236 (170–175) ; 246 (176–181) ; 255 (182–186) ; 268 (187–194) ; 278 (195–202) ; 288 (203–210) ; 298 (211–218) ; 308 (219–226) ; 318 (227–234) ; 328 (235–242). Correspondant à une seconde série de signatures, conservées sur les versos des derniers f. des cahiers ; les signatures des cahiers 29-32 ont été perdues dans la rognure : cahier 20, « a » (f. 147v) ; 21, « b » (f. 155v) ; 22, « c » (f. 161v) ; 23, « d » (f. 169v) ; 24, « e » (f. 175v) ; 25, « f » (f. 181v) ; 26, « g » (f. 186v) ; 27, « h » (f. 194v) ; 28, « i » (f. 202v) [en partie coupé lors de la rognure]. Unité codicologique III337 (243–249) ; 342 (250–251) ; 358 (252–259) ; 368 (260–267) ; 373 (268–270) ; 387 (271–277) ; 398 (278–285) ; 402 (286–287) ; 418 (288–295) ; 1 f. isol (296) ; 428 (297–305) ; 4310 (306–315) ; 446 (316–321) ; À cette dernière partie correspond la troisième série de signatures, conservées sur les rectos des 1er f. des cahiers, excepté pour les signatures du cahier 33, figurant au verso du dernier f. et 40 dont la signature est perdue: cahier 33, « B ii » (f. 249v) ; 34, « C III » (f. 250r), 35, « D IIII » (f. 252r) ; 36, « E V » (f. 260r) ; 37, ; « F VI » (f. 268r) ; 38, « G VII » (f. 271r) ; 39, « H VIII » (f. 278r) ; 41, « K X » (f.288r) ; 42, « L XI » (f. 297r) ; 43, « M XII » (f. 306r) ; 44, « N XIII » (f. 316r). Enfin, une quatrième série de signatures de cahiers couvre l'ensemble du volume (voir la table synoptique des 4 séries de signatures dans la description du contenu ci-dessous).Le ms. a reçu 3 foliotations différentes (foliot. 1, 2, 3). La première a été réalisée au XVe s., en chiffres romains (conservée de I à IIICXXXIIII [1-334]); les deux autres à l'époque moderne, une à l'encre [1-321], l'autre à la mine de plomb [1-232] ; l'écart d'un f. entre les deux dernières foliot. apparaît au f. 230, mais en l'absence de lacune entre 229 et 230, il s'agit d'une erreur. — On déduit de la comparaison des foliot. 1 et 2, d'une part que tous les cahiers étaient présents au XVe s., mais que le ms. était déjà lacunaire de 2 f. (entre f. 247 et 248 et entre f. 276 et 277) et d'autre part, puisqu'il existe un écart de 13 f. entre foliot. 1 et 2, qu'il a perdu 12 f. réparti sur les 1er et 34e cahiers d'origine, auxquels est venue s'ajouter la perte de l'avant-dernier f. entre f. 320 et 321 actuel. N.B.: En plus de la foliot. 1, des annotations et des titres ont été ajoutés au XVe s. par la même main; la foliot. commence au f. 2r actuel par le chiffre « VIII », d'où nous déduisons que le 1er cahier d'origine devait compter 6 f.; elle se poursuit sans interruption juqu'à « XV » (9r). Ensuite les numéros de f. apparaissent irrégulièrement: « XVII » (11r), « XX » (14r), « XXV » (19r), « XXIX » (23r); et enfin l'usage de numéroter de cinq en cinq devient plus régulier, mais non-systématique, quand apparaissent des titres ajoutés de la même main : « XXX » (24r), « XXXV » (29r), « XL » (34r), « XLV » (39r), etc. ; « Oribasii liber IIII » « XLIX » (43r); « Oribasii liber quintus » « LXIIII » (58r); « Oribasii l. sextus » « LXXV » (69r), etc. Cette foliotation utilise le système numéral par exposant en usage à la fin du Moyen Âge, ainsi « Oribasii l. VI » « IIIIXX » (74r) correspondait au f. 80 avant lacune. Plus loin, « VIXXX » (124r) = f. 130 ; « VIIXXXV » (149r) = f. 155. Grâce à cette foliotation, il est possible aussi de mesurer l'étendue de la lacune entre le 32e et le 33e cahier actuel, car l'écart constant de 6 f. s'étant maintenu jusqu'au f. 239r, folioté «IICXLV» [245], l'apparition suivante de la foliot. 1 au f. 243r, «IICLV» [255], présente un écart de 12 ; enfin, la différence augmente d'un entre les f. 318 numéroté « IIICXXX » [330] et 321, « IIICXXXIIII » [334], prouvant que la perte du f. entre 320 et 321 est intervenue après la foliot. 1. - Reliure maroquin bleu à grain long à encadrement aux armes (sur les deux plats) et chiffre (au dos) de Louis-Philippe (armes d'Orléans surmontée de la couronne de France, différentes de celles signalées par Hermal et De Roton, pl. 2577, fer n° 7 et 8; cf. latin 8907), avec titre au dos: « Oribasius. Alexander. Dioscorides. » et signature du relieur: «Rept. Lefebure », Lefebvre réalisée en 1831. Pour l'étude de cette reliure, voir Laffitte, 2006, p. 280-281 et ill. 3. [Reliure en mauvais état.]. - Estampille de la Bibliothèque nationale (1792-1802), modèle identique à Josserand-Bruno, p. 277, n° 17
Language
- lat
- lat
Is part of
- Art of Reading in the Middle Ages: updated item
Relations
- Notice du catalogue : http://archivesetmanuscrits.bnf.fr/ark:/12148/cc123914
Providing country
- France
Collection name
First time published on Europeana
- 2016-11-25T15:54:28.042Z
Last time updated from providing institution
- 2022-06-01T06:45:14.254Z