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Correspondance de Louis LECHANOINE Grand-père du contributeur
• CP of September 10, 1914. After leaving Le Mans, he wrote from Sète where he took the train to go to Béziers. “I am writing these words to you in a cattle car because we are all in there, during the day we are not too bad but at night we are bad. We saw the sea a few meters from us and from this moment we are not yet far from it. • CP of January 3, 1915 "On New Year's Day, the Boches, who are al…
Contributors
- Archives Municipales de Sète
Creator
- Louis LECHANOINE
Subject
- World War I
- Remembrance
- World War I
Type of item
- Letter
- Letter
Date
- 1914
- 1916
- 1916
- 1914
- 1916
- 1914
Contributors
- Archives Municipales de Sète
Creator
- Louis LECHANOINE
Subject
- World War I
- Remembrance
- World War I
Type of item
- Letter
- Letter
Date
- 1914
- 1916
- 1916
- 1914
- 1916
- 1914
Providing institution
Aggregator
Rights statement for the media in this item (unless otherwise specified)
- http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/
Creation date
- 2014-04-24 12:42:36 UTC
- 2014-04-24
- 2014-04-24
Temporal
- europeana19141918:timespan/ca8ca6554121ca142c659387a89508b8
Places
- Western Front
- Sarthe
Provenance
- INTERNET
Source
- UGC
Identifier
- 158639
- https://1914-1918.europeana.eu/contributions/15210/attachments/158639
Language
- Français
- fra
Is part of
- EnrichEuropeana
- EnrichEuropeana
Year
- 1914
- 1916
Providing country
- Europe
Collection name
First time published on Europeana
- 2019-09-11T08:24:02.356Z
Last time updated from providing institution
- 2023-06-05T08:05:33.085Z
Table of contents
- • CP du 10 septembre 1914 . Après son départ du Mans, il écrit de Sète où il passe en train pour se rendre à Béziers. «Je t'écris ces mots dans un wagon à bestiaux car nous sommes tous là dedans, le jour nous ne sommes pas trop mal mais la nuit on est mal. Nous avons vu la mer à quelques mètres de nous et de ce moment nous n'en sommes pas encore loin.» • CP du 3 janvier 1915 « Le jour du 1er de l'an les boches qui en ont assez aussi eux se sont levés dans leurs tranchées qui sont à cet endroit qu'à 100 mètres des notres, ils ont levé les bras, agité leur mouchoir ou leur gamelle, alors nous autres nous en avons fait autant et si le lieutenant n'avait pas tiré nous aurions été des copains, aussi le lieutenant a été mal vu de notre part. ». • Lettre du 18 mars 1915 Ecrit depuis le sanatorium par l'intermédiare d'un voisin de chambre car il est trop faible. Il souffre de la thiphoïde. • Lettre du 24 avril 1916 où il dit qu'il est « rongé par la vermine » ce qui l'empêche de dormir. • Lettre du 23 juin 1916. Raconte la vie dans les tranchées et à l'arrière.